The plus and plus the familles partagent un groupe de messages qui permet d’échanger en simultané avec sa mère, son père, ses frères et soeurs, voire même les oncles, aunts et grand-parents, que ce soit sur WhatsApp ou Messenger. Mais si certains ne publient que du contenu pertinent, et à petite dose, d’autres se lâchent complètement, inondant leurs interlocuteurs de vidéos, images et anecdotes ! Une scenario qu’un père de famille américain a vécu, et contre laquelle il a poussé a coup de guule qu’on vous partage ici.
les groupes familiaux de messages, un enfer pour les adultes ?
Il ya une semaine, le 17 janvier dernier, une internaute a partagé avec ses followers une seize d’écran d’un message de son père, un américain qui n’en pouvait plus de devoir réagir à chaque message de leur groupe familial. Mais qui est ce monsieur ? D’après nos confrères de France Data, il s’agit de Thomas D’Orazio, un homme d’une cinquantaine d’années, qui vit aux États-Unis. Lui, sa femme et ses deux filles de 23 et 19 ans ont fondé un groupe WhatsApp de famille, qui s’est avéré au bout du compte une expérience épuisante. Il a ainsi annoncé son départ en quelques lignes, qui auraient dû tomber dans l’oubli… C’était sans compter le tweet de sa fille, vu par 14.5 tens of millions de personnes et aimé plus de 400 000 fois : la seize d’écran du message de son père a ainsi trouvé un écho aussi surprenant qu’inattendu sur Web ! De nombreux commentaires sont venus etoffer ce publish, mettant en lumière un véritable ras-le-bol général face à cette connexion omniprésente.
My dad critically despatched this to our household group chat im crying pic.twitter.com/em70wVKHti
Mon père a vraiment envoyé ça à notre groupe de messages familial je pleure
Je n’en peux plus de cette pression de devoir toujours rigoler ou aimer ou apprécier les pensées, les images et les plaisirs aléatoires de tout le monde. Pour les prochains messages : je les adore, ils me font rire et je les apprécie sauf si ce n’est pas bien, alors je ne les aime pas. Pour toujours. Je ne peux pas vivre avec cette pression. Je vous quitte.
Thomas D’Orazio n’est pas seul, et ce qu’il expérimente dans ce tweet a un nom. Il s’agit de l’épuisement numérique, une sur-sollicitation vécue par les internautes, qui doivent désormais compter avec les échanges familiaux, en plus des échanges professionnels déjà considérables. Un phénomène accentué par les confinement liés à la crise du Covid, durant lesquels, séparés et isolés les uns des autres, nous avons cédé encore d’avantage aux sirènes du numériques. Une phantasm de rapprochement qui se traduit par une hausse du temps d’écran chez les Français. Ceux-ci déclarent les consulter quelques 4h49 par jour, soit 19 minutes de plus qu’il ya deux ans, d’après une étude du web site professional du comportement, BVA. Des chiffres qui ne sont pas prêts de baisser, même si la sur-exposition aux réseaux sociaux en rend visiblement plus d’un malade… Même si d’autres adorent le precept des groupes de famille, comme vous pouvez le constater ci-dessous !
Si un homme t’a déjà mis dans le groupe whatsapp de sa famille , c’est que c’est le bon .
mon oncle qui nous envoie sans contexte au milieu dr la dialog d’un coup une picture de lui et karine le marchand c’est exactement pour ça que j’ai créé le groupe whatsapp de ma famille
Oh putain mon daron vient de créer un groupe WhatsApp famille aidez moi je fais quoi ?
C’est toujours dans les groupes whatsapp de famille que tu vas voir les voices de 8-10 min
On aurait dit un message whatsapp d’un tonton gênant sur le groupe de famille… https://t.co/KD7sZp8cBm
Ma mère dans le groupe Snap familial qui raconte quelques choses avec joie , ça me réchauffe le cœur
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