Le precept Oui, mais… consiste à exprimer une idée ou une scenario en y ajoutant une nuance, une contradiction ou une excuse. C’est une approach souvent utilisée dans la négociation, ou l’humour. Sur la web page Instagram YES, BUTl’artiste moscovite Anton Gudim utilise ce precept pour créer des illustrations drôles, ironiques et parfois absurdes qui dépeignent les paradoxes de la vie moderne. Et pour en voir plus, voici d’autres illustrations.
1/ oui, mais j’ai recu mon badge comme les autres
2/ oui, mais il pleut ce week-end
3/ oui, mais je suis un skilled en TikTok
4/ oui, mais les affaires dépassent du lit
5/ oui, mais il ya la file d’attente
6/ oui, mais je laisse du rouge à lèvres sur les verses
7/ oui, mais je suis poilu
8/ oui, mais je reste female
9/ oui, mais je suis dans les toilettes
10/ oui, mais il pleure
11/ oui, mais je n’ai rien à manger
12/ oui, mais j’ai des rides
13/ oui, mais me tiens mal
14/ oui, mais j’utilise de l’eau en bouteille
15/ oui, mais c’est uncommon
16/ oui, mais je ne peux rien predire
17/ oui, mais le chargeur est trop gros
18/ oui, mais je dors sur le sol
19/ oui, mais j’en mets partout dans la voiture
20/ oui, mais je change de titre
21/ oui, mais j’ai utilisé ta carte bancaire
22/ oui, mais je cache avec un sticker
23/ oui, mais je suis un professional du skate
Vous n’en n’avez pas eu assez ? Voici, un autre article sur ce precept Oui, mais.
Par Michael
Tombé amoureux de l’informatique étant petit avec un Amstrad 6128, je n’ai jamais décroché. Depuis, je me suis diversifié en m’intéressant aux nouvelles applied sciences et plus particulièrement celle de notre quotidien.
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